L’Amour, sentiment éternel et universel, à facettes multiples, est depuis toujours une source d’inspiration artistique inépuisable. Il a parcouru avec constance, tous les courants musicaux suscitant un foisonnement d’œuvres inspirées.
Debussy a écrit : « La musique commence là où la parole est impuissante à exprimer ». N’en serait-il pas de même avec le sentiment amoureux ? Musique et Amour ont peut-être en commun de pouvoir dépasser ce que l’on ne peut exprimer totalement avec des mots ?
Alors, allons au-delà des mots et laissons parler la Musique à travers les déclarations d'amour de Borodine, Schumann, Gershwin, Dvorak, Offenbach, Bizet...
Pour vous livrer tous ces témoignages amoureux, le Quatuor MUSICORDES sera entouré du saxophoniste Evgeny NOVIKOV et quelques mots seront tout de même présents grâce à Emmanuel PLEINTEL.
Anthony MILLET, accordéoniste, vous propose de prendre le large en compagnie du Quatuor MUSICORDES.
Les cordes du quatuor nourries par le souffle de l'accordéon, avec à la barre leur Capitaine émérite, Emmanuel PLEINTEL, vous propulseront des côtes Irlandaises à celles de l'Argentine en prenant le temps de faire une grande escale en Europe, ce vieux continent, riche de nombreux courants et styles musicaux, populaires ou savants, façonnés au cours des siècles. Bien sûr, nous passerons par Paris, le temps de s'encanailler au son de valses musette...
Les musiques de Vivaldi, Bach, Schubert, Piazzolla, Prokofiev… seront du voyage entourées d’airs traditionnels.
Quatre musiciens... Une mission
Le Quatuor MUSICORDES aime les missions impossibles, considérant que l’objectif de chacune d’entre elles est le partage du plaisir musical avec le public. Cela n'est jamais gagné d’avance. Que d’aventures avant d’y parvenir ! Surtout cette fois-ci ! En effet, le Quatuor s'est adjoint les services d’un drôle d’agent, pas très secret, assez pacifique cependant, mais un peu bavard et doué d’un sens de l‘humour à la distinction toute classique. Classique, comme l'essentiel du programme que nous vous proposons, avec Mozart, Haydn, Schubert, Verdi, Dvorak, tous les grands espions de l’histoire de la musique en quelque sorte, mais également d’autres trublions tels que Gershwin, Ellington, Nino Rota ou Joseph Kosma, à la mine parfois patibulaire.
Gageons que les musiciens sauront faire régner l'harmonie entre toutes les bandes rivales et rendre les oreilles des auditeurs attentives au plaisir de la diversité musicale, aidés pour cela par un récitant qui parviendra à démêler toutes les intrigues et rendre cette mission … possible.
Un vent de liberté, tout au long du XIXème siècle, souffle sur le Vieux Continent. Chaque pays revendique son identité particulière et pourtant les différents courants artistiques vont se rejoindre sur le besoin de faire primer l’émotion sur la raison. Le lyrisme s’invite, les compositeurs cherchent à exprimer une conception nouvelle de la nature promue au rôle de confidente suprême des états d'âme.
Dans toutes les capitales, fleurissent des salons littéraires où les artistes se rencontrent et échangent sur leurs créations. Ils contribuent ainsi à l’affirmation du mouvement romantique fondé sur un dialogue incessant entre la musique, la littérature et les beaux-arts.
Tendons l’oreille vers les mots et les notes que l’on pouvait entendre dans ces salons…
Conversations amoureuses entre les Arbres, la Musique et la Littérature
SCHUBERT... cet amoureux de la Nature, éprouvait le besoin impérieux d’aller s’y ressourcer chaque jour après avoir travaillé sur ses compositions.
C’est donc tout naturellement que sa musique sera ici le fil conducteur pour tisser des liens sensibles et intimes entre les pensées de grands écrivains, tels Chateaubriand ou Goethe, eux aussi en résonance avec cette Nature consolatrice qu'ils prirent souvent pour confidente.
Dvorak… Gershwin… Duke Ellington… Philip Glass... quatre génies musicaux authentiques issus de milieux populaires, au service de l'âme de leur pays d’origine ou d’accueil.
Tous doivent leur succès considérable à la ville de New York, le premier y fut appelé en tant que Directeur du Conservatoire, le deuxième y créa un style nouveau, synthèse entre l'art populaire et la musique savante, le troisième y fit résonner la salle du Carnegie Hall d’un nouvel univers sonore le quatrième y prit son élan musical au début des années 1960 et devint le chef de file de la musique minimaliste et notamment de l'école répétitive.
Le pont musical new-yorkais jeté par Dvorak et Gershwin entre les XIXème et XXème siècles aura permis au Duke et à Phil Glass d’enrichir la création musicale d’ esthétiques remarquables et innovantes.
Attentifs à l’importance de la sensibilisation de l’écoute de la musique vivante par des publics diversifiés nos programmes peuvent s’accompagner d’actions culturelles. La forme de cet accompagnement sera étudiée avec l’organisateur selon le contexte et les partenaires potentiels souhaitant s’engager dans le projet.
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